Avec une volonté affirmée, le Fonds de la Mer Rouge a récemment dévoilé sa sélection de 33 projets cinématographiques en provenance d’Arabie Saoudite, du Monde arabe et d’Afrique. Parmi ces projets, quatre émanent du Maroc, témoignant ainsi de la portée internationale de ce soutien financier et créatif.
Parmi les joyaux de cette sélection, on compte la série captivante intitulée « Que la terre brûle« , créée par l’éminente Sofia Alaoui, ainsi que le documentaire évocateur baptisé « Femmes au soleil« , porté par la vision de Meriem Addou. Les longs-métrages ne sont pas en reste avec « Alfirdaous » de Alaa Eddine Aljem et « Voler comme un oiseau » de Mehdi Ayoubi, offrant une diversité de perspectives et de genres qui reflètent la richesse de la région cinématographique.
À travers cette sélection minutieuse, la Fondation du Festival international du film de la Mer Rouge consolide son engagement envers l’épanouissement du paysage cinématographique régional. Plus spécifiquement, elle affirme sa dédication à l’essor de l’industrie du cinéma en Arabie Saoudite, comme en témoigne le communiqué officiel du Fonds.
Ce fonds ambitieux a pour mission première de soutenir les cinéastes et créateurs culturels d’Arabie Saoudite, du Monde arabe et d’Afrique. Son but ultime : cultiver les compétences et les expertises, et donner vie aux visions créatives en œuvres tangibles. Dans cette quête, il privilégie résolument la promotion des talents locaux, soulignant ainsi son rôle de catalyseur pour l’épanouissement du secteur.
Ces 33 projets soigneusement sélectionnés se distinguent par leurs approches novatrices, mettant en exergue la richesse et la diversité des récits tant en Arabie Saoudite que dans l’ensemble de la région. Du format long-métrage aux documentaires en passant par les films d’animation, chaque projet raconte une histoire unique, contribuant ainsi à une renaissance culturelle et à un renforcement des échanges et de la compréhension mutuelle.
À cet égard, il est indiscutable que ces initiatives cinématographiques joueront un rôle significatif dans la redécouverte du paysage culturel. De plus, elles constitueront un puissant vecteur de communication et de rapprochement, tant pour l’Arabie Saoudite que pour l’ensemble du monde arabe et de l’Afrique. L’appui apporté par le Fonds témoigne avec éloquence de son engagement en faveur de la diversité cinématographique et du dialogue interculturel. Ce faisant, il confirme sa mission de garantir la pérennité de l’industrie cinématographique au sein de la région, tout en tissant des liens culturels durables.