Revue de presse quotidienne du mercredi 5 février 2020

Revue de presse quotidienne du mercredi 5 février 2020
mercredi 5 février 2020 - 09:17

Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce mercredi 5 février 2020  

Le Matin

• Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, mardi, la cérémonie de lancement du Programme de développement urbain d’Agadir (2020-2024), un projet structurant qui amorce une nouvelle étape dans la promotion du rôle de la ville en tant que pôle économique intégré et locomotive de toute la région. Mobilisant des investissements de l’ordre de 6 milliards de dirhams (MMDH), le programme de développement urbain d’Agadir vise la consécration du positionnement de la ville et le renforcement de son attractivité en tant que destination touristique nationale et internationale, l’amélioration des indices de développement humain, la promotion des conditions de vie des populations, notamment des habitants des quartiers sous-équipés, le renforcement des infrastructures de base et la consolidation du réseau routier de la ville pour une mobilité meilleure.

• Le Bureau de la Conférence des Ministres Africains des Finances, du Développement Economique et de la Planification a tenu, au siège de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) à Addis-Abeba, sa deuxième réunion sous la présidence du Maroc. Cette 2eme session du Bureau a été consacrée à l’examen du programme de travail de la prochaine Conférence et les conclusions de la Retraite des Seychelles sur les changements climatiques qui avait réuni en décembre dernier quelque 44 délégations des États membres de la CEA. L’Ambassadeur Représentant Permanent du Royaume auprès de l’Union africaine et de la CEA, Mohammed Arrouchi, qui a présidé cette réunion, a souligné l’importance des conclusions et recommandations de la Retraite des Seychelles, notamment l’opérationnalisation de la troisième Commission Climat des Etats Insulaires, créé à l’initiative de SM le Roi Mohammed VI.

L’Economiste

• L’offre de soins étant rassemblée à Rabat, a conduit, et ce jusqu’au début des années 2000, à un important déficit en infrastructures médicales au niveau du reste de la région, particulièrement dans le rural qui abrite 30% de sa population, soit plus de 4,5 millions de personnes. Pour remédier à ce déséquilibre inquiétant, une vraie politique de territorialisation de l’offre de soins au niveau de la région s’impose. Une réflexion est actuellement menée par le ministère de la Santé pour la réorganisation territoriale de l’offre de soins dans laquelle les CHU joueront un rôle primordial. «Avec la direction régionale de la santé, la tutelle va élaborer une feuille de route sous forme d’un programme médical régional», selon une source proche de ce dossier. Pour le déploiement de ce chantier, les CHU de Rabat et celui de Tanger pourront être choisis dans le cadre d’une expérience pilote.

• Malgré des faiblesses structurelles, le Maroc tient ses positions sur le marché mondial du tourisme. Le tableau de bord 2019 est historique: 12,9 millions de touristes (+5,2%), près de 80 milliards de DH de recettes en devises et 25 millions de nuitées dans l’hôtellerie classée. Les nuitées marquent une progression de 5% malgré une hausse des capacités. Voilà qui contredit la thèse des hôteliers qui prônait une pause de l’investissement à Marrakech au motif que de nouvelles capacités fragiliseraient les hôtels existants. La durée de séjour moyenne oscille entre 1 et 5 nuits selon les régions. Agadir ayant la durée plus élevée avec 5 nuitées, suivie de Marrakech (3 nuitées). Puis 2 nuitées pour Fès, Tanger et Rabat. Le poids économique du tourisme est incontestable: 750.000 emplois directs et plus de 2,5 millions indirects, 7% du PIB, 80 milliards de DH de recettes (en devises) et 29% des exportations de services.

Aujourd’hui Le Maroc

• L’OMS estime que le Maroc dispose des compétences techniques pour réaliser le diagnostic du nouveau coronavirus2019-nCoV, au niveau de plusieurs de ses laboratoires nationaux. Celle-ci a fait savoir sur son site web que les kits nécessaires ont été pourvus en quantité suffisante et un approvisionnement plus conséquent est prévu dans deux à trois semaines. L’OMS a également fait savoir qu’elle soutient le Maroc dans la préparation à une éventuelle expansion de l’épidémie, en fournissant des tests et en apportant d’autres formes d’appui technique, en vue de mettre en œuvre son plan national de veille et de riposte à la maladie due au 2019nCov.

• Le Parlement veut contrôler l’aide aux porteurs de projets. Un rapport annuel sera réalisé par la première Chambre concernant les subventions publiques accordées aux porteurs de projets. Cette décision coïncide avec le lancement par le Maroc d’un dispositif destiné à faciliter l’accès des TPME au financement et aux crédits bancaires. Ce fut d’ailleurs l’une des décisions phares à l’issue d’un séminaire organisé par le Parlement au lendemain de l’annonce du dispositif. Des appels ont été lancé pour l’adoption d’un programme global pour accroître la performance du secteur sans oublier l’accompagnement non financier aux porteurs de projets, de Très petites et moyennes entreprises et start-up.

Al Bayane

• La sanction surprise de Maroc Telecom par l’ANRT a impacté rapidement la Bourse de Casablanca. En effet, le titre de Maroc Telecom, le seul opérateur des télécommunications côté à la place casablancaise, a accusé lundi dernier, une baisse de 7,52% pour passer le cours à 143,8 DH au lieu de 155,5 DH la veille. C’est la plus forte baisse journalière pour cette entreprise.Et comme Maroc Telecom est l’une des valeurs qui pèse lourd dans le marché boursier puisqu’elle représente 20% de l’indice général du marché, son déclin a impacté systématiquement le MASI. Ainsi, le marché actions a chuté de 1,94% ce qui a fait baisser la performance annuelle à 0,96%.

• Les postions et les approches constructives du Royaume au sujet des grandes questions d’actualité transversales qui façonnent le débat politique en Afrique ont été présentées, à Pretoria, par l’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, Youssef Amrani, lors d’une conférence en présence de la ministre sud-africaine des Relations extérieures et de la Coopération, Naledi Pandor. Se référant à l’actualité marquante sur la scène internationale, l’ambassadeur a d’emblée évoqué, devant un parterre d’officiels, de diplomates et d’académiciens, la question libyenne, en interrogeant la pertinence de la récente réunion de Berlin pour résoudre un conflit d’abord et avant tout africain. Selon lui, l’Afrique doit être unie et solidaire face aux enjeux globaux.

L’Opinion

• Nouveau rebondissement dans l’affaire du scandale immobilier Bab Darna. Le juge d’instruction chargé de l’affaire près le tribunal correctionnel de Ain Sebaâ vient de se déclarer, lundi dernier, incompétent. Si cette décision n’est pas annulée par un recours, l’affaire sera donc renvoyée devant la Chambre criminelle près la Cour d’appel si aucun recours n’est fait dans les trois jours. Le plafond des sanctions pourrait alors atteindre la réclusion à 20 ans. Cette décision intervient suite à une demande soulevée début janvier par les victimes. Leur défense avait en effet initié une requête estimant que les faits relevés contre certains accusés pouvaient être qualifiés de « crimes », non de « délits » et qu’en ce sens, la compétence appartient à la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca.

• Le Salon international de l’édition et du livre (SIEL) ouvrira ses portes au public ce vendredi jusqu’au 16 février. Rendez-vous attendu par les professionnels de l’édition, le salon 2020 devrait réunir quelque 703 exposants, issus de plusieurs continents. Invitée d’honneur de la 26ème édition du Salon du livre de Casablanca, la Mauritanie sera présente à travers 11 maisons d’édition, plusieurs écrivains et personnalités du monde de la culture.

Libération

• Les défis internationaux et régionaux que connaît la région imposent plus que jamais de multiplier les domaines de coopération et de coordination entre le Maroc et l’Espagne, a souligné le ministre de la Justice, Mohamed Ben Abdelkader. S’exprimant à l’ouverture des travaux de la 7è Rencontre judiciaire maroco-espagnole, le ministre a mis l’accent sur l’importance de consolider la coopération et la coordination entre les deux pays frères dans moult domaines, notamment de la lutte contre le crime organisé et transfrontalier, le terrorisme et l’extrémisme, la traite humaine et l’immigration illégale, tout en insistant sur la nécessité de veiller à un échange d’informations et d’expertises en vue de combattre ces fléaux qui guettent la paix dans la rive sud de la Méditerranée.

• Le montant total des ressources des partis politiques relatives à l’exercice 2018 a atteint 120,84 millions de dirhams (MDH) contre 128,04 MDH en 2017 et 367,64 MDH en 2016, selon la Cour des Comptes. Le montant de la subvention de l’Etat représente un taux de 54,90% du montant total des ressources, relève la Cour des Comptes qui vient de publier son rapport relatif à l’audit des comptes des partis politiques et à la vérification de la sincérité de leurs dépenses au titre du soutien accordé par l’Etat pour la contribution à la couverture de leurs frais de gestion et d’organisation de leurs congrès nationaux ordinaires au titre de l’exercice 2018. En effet, les ressources de sept partis ont représenté 89,83% du total des ressources, fait savoir le rapport, soulignant que des disparités ont été enregistrées quant à la part du financement public dans le total des ressources des partis.

Akhbar Al Yaoum

• L’annonce selon laquelle l’OMS est prête à fournir, au Maroc et à 9 pays du Moyen-Orient, les moyens laborantins nécessaires à la détection du Croronavirus, a provoqué l’émoi chez l’opinion publique. De ce fait, le directeur de l’épidémiologie et de la lutte contre les maladies au ministère de la santé, Mohamed Youbi, a catégoriquement démenti ces informations, indiquant, dans un entretien au journal, que les déclarations du responsable de l’OMS ont été mal interprétées à cause d’une mauvaise traduction. En effet, selon Youbi, l’Organisation évoquait plutôt les réactifs utilisés dans les analyses laborantines dont dispose déjà le Maroc. « C’est grâce à ces réactifs qu’on effectue les analyses sur les cas suspecté de porter le virus, y compris les 167 Marocains rapatriés de Chine ». Le responsable a également fait savoir que le Maroc dispose de tous les moyens et équipements pour détecter l’épidémie, notant que le Royaume a demandé à l’OMS une quantité supplémentaire de ces réactifs pour qu’il soit prêt, dans les 5 prochains mois, en cas d’observation du virus, ou dans le cas de la multiplication des cas suspects nécessitant des analyses.

• Le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch, a farouchement défendu le rendement de l’ONSSA après les attaques qu’il a subies suite au rapport de la Cour des comptes. Lors d’une rencontre de la Commission du contrôle des finances à la Chambre des représentants, le ministre a indiqué que l’ONSSA était une institution très jeune qui souffre d’un manque de ressources humaines, exhortant les parlementaires à « la préserver ». S’agissant des défaillances relevées par le rapport de la Cour, Akhannouch a fait savoir que la problématique du contrôle des produits alimentaires réside dans la multiplication des intervenants. Un autre problème soulevé par le ministre, qui note que l’ONSSA n’a pas les prérogatives nécessaires pour « réprimer les contraventions », appelant au renforcement du rôle de l’Office en matière de contrôle.

Al Massae

• Nombre de banques ont déjà commencé à octroyer des prêts aux porteurs de projets dans le cadre du nouveau programme baptisé « Intelaka ». Il s’agit d’un programme que l’État a mis en place afin d’encourager l’initiative grâce aux crédits bancaires qui pourraient atteindre, dans leur ensemble, plus de 50 milliards de dirhams. Les différents intervenants lors de la rencontre du lancement du programme ont démêlé le vrai du faux au sujet de cette opération, précisant qu’il ne s’agit pas d’allocations aux jeunes mais de crédits bancaires soumis à un ensemble de garanties et procédures. Ils ont, toutefois, mis l’accent sur le taux d’intérêt réduit et inédit au Maroc ainsi que sur l’aspect de l’accompagnement des projets.

• Énième signe de la protection de l’investissement et des transactions financières. Le président du ministère public, Mohamed Abdennabaoui, a exhorté les parquets généraux et les procureurs du Roi à réprimer les infractions financières et économiques. Dans une circulaire évoquant le rôle de cette institution dans la protection du système économique, adressée aux responsables du parquet général, Abdennabaoui a appelé à promouvoir ce rôle dans la lutte contre les difficultés de l’entreprise, en activant les dispositifs juridiques stipulés dans la loi 73.7.

Al Alam

• Pour plusieurs économistes, le Wali de Bank Al-Maghrib (BAM), Abdelatif Jouahri, n’a pas caché sa crainte concernant les mesures entreprises pour soutenir le financement des entreprises. Représentant 95% du tissu économique national, les PME jouent un rôle important dans le développement de l’économie, a-t-il dit lors d’une conférence au Parlement, notant que les PME sont confrontées à plusieurs contraintes qui précipitent leurs faillites.Le programme de financement des PME est certes important, mais il ne faudrait pas le surestimer car dans tout projet le financement n’est qu’une composante parmi plusieurs autres, a souligné Rachid Oraz, chercheur à l’Institut marocain d’analyse politique, ajoutant qu’il faudrait prendre en considération le capital humain, le climat des affaires et la demande du marché qui reste liée au pouvoir d’achat des citoyens.

• Bank Al-Maghrib (BAM) a indiqué que 23% des entreprises opérant dans le « textile et cuir» et 65% de celle opérant dans la «mécanique et métallurgie» ont qualifié de «difficile» l’accès au financement, soulignant que pour 53% des chefs d’entreprises industrielles, les dépenses d’investissements ont stagné durant le 4ème trimestre, alors que 39% ont fait état d’une hausse. Au quatrième trimestre 2019, le coût du crédit aurait été en stagnation dans toutes les branches, ajoute BAM.

Al Ahdath Al Maghribia

• Le passage probable au système Bachelor ne manque pas de susciter la polémique. En effet, le Syndicat marocain de l’Enseignement supérieur et la recherche scientifique a annoncé son rejet catégorique de cette réforme, pointant du doigt la précipitation ayant accompagné l’élaboration de ce projet et la mobilisation de tous les moyens du ministère pour faire passer une version qui ne correspond pas au projet initial. Dans un communiqué, le syndicat considère que le passage du Maroc au système Bachelor est un nouvel épisode d’un feuilleton de réformes horizontales qui se succèdent selon le principe de la rupture, loin de toute évaluation ou capitalisation et sans aucune approche participative.

• L’année 2020 sera « déterminante pour une action climatique décisive », a affirmé, lundi à New York, l’ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès des Nations-Unies, Omar Hilale, à l’ouverture d’une réunion de travail du Groupe des amis du climat, co-présidée par le Maroc et la France, en présence notamment du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Au cours de cette rencontre à laquelle ont assisté un grand nombre de représentants des Etats membres de l’ONU, Hilale a fait observer qu’il « y a peu de marge d’erreur », tellement « la crise climatique devient plus grave et plus évidente ». « D’une part, il ne fait aucun doute que nous sommes dans une meilleure position dans la mesure où l’agenda climatique qui doit être abordé est beaucoup plus clair et les objectifs beaucoup plus cohérents et ambitieux » mais « d’un autre côté, nous avons perdu des décennies d’occasions pour faciliter la voie au développement durable et à l’action climatique », a-t-il noté.

Bayane Al Yaoum

• Un total de 22.000 tonnes de déchets médicaux et pharmaceutiques sont enregistrées chaque année au Maroc, dont 6.000 tonnes sont considérées comme « dangereuses », a indiqué le ministre de l’Énergie, des mines et de l’environnement, Aziz Rabbah. En réponse à une question orale sur « les déchets médicaux et leur impact sur les habitants et l’environnement », présentée par le groupe du Rassemblement constitutionnel à la Chambre des représentants, le ministre a souligné que le traitement de ces déchets nécessite davantage d’efforts tout en affirmant que ceux-ci ne présentent pas toujours un danger. Relevant que les déchets ne sont pas mesurés par leur volume mais plutôt par les risques qu’ils peuvent représenter, a précisé que le système juridique aussi bien national qu’international fait distinction entre les déchets ordinaires et ceux dangereux, particulièrement les déchets médicaux. Le ministre a, en outre, fait observer qu’un certain nombre de mesures ont été prises pour gérer la problématique des déchets médicaux, citant à cet égard l’ouverture du champ de la gestion déléguée pour les entreprises souhaitant investir à Casablanca, à Laâyoune et à Rabat sous la supervision du ministère de la Santé.

•L e Wali de la région de Casablanca-Settat, Gouverneur de la préfecture de Casablanca, Said Ahmidouch, a appelé, à Casablanca, à l’élaboration d’une politique prospective pour rationaliser l’utilisation des ressources hydriques au niveau régional dans le sillage des changements climatiques. Lors d’un point de presse à l’issue d’une rencontre de communication portant sur le programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027 au niveau de la région, Ahmidouch a assuré que la région ne court pas le risque d’une pénurie d’eau actuellement, notant que les dérèglements climatiques ont un impact variable sur les précipitations. La rationalisation de l’utilisation des ressources hydriques, a-t-il expliqué, est tributaire de l’amélioration de la qualité des infrastructures pour limiter les fuites d’eau et l’orientation vers des cultures moins gourmandes en eau, en collaboration avec les professionnels du secteur afin d’accompagner les agriculteurs tout au long de cette transition.

Al Ittihad Al Ichtiraki

• Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), a démantelé, mardi, sur la base d’informations de renseignement précises, une cellule terroriste composée de six membres adeptes de la pensée extrémiste, âgés de 18 à 59 ans, s’activant entre Casablanca, Mohammedia et Azilal, indique un communiqué du ministère de l’Intérieur. Les premières investigations révèlent que les membres de cette cellule affiliés à l’organisation dite « Etat islamique » ont planifié de commettre des actes terroristes au sein du Royaume dans la perspective de la proclamation d’une wilaya affiliée à Daech, précise la même source. Les suspects ont été placés en garde à vue pour approfondir l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent alors que les investigations se poursuivent pour arrêter d’autres complices soupçonnés d’être impliqués dans cette cellule terroriste, ajoute le communiqué. • Coronavirus. Tous les Marocains mis en quarantaine à l’hôpital Sidi Saïd à Meknès sont en « très bon état », a indiqué le directeur régional de la Santé de Meknès, Dr. Said Lafkir, notant qu’ils ne présentent aucun symptôme du Coronavirus. Après la fuite d’images des étudiants marocains mis en quarantaine, le responsable a indiqué qu' »il n’y a pas lieu de s’inquiéter, contrairement à ce qui se dit sur ce sujet », expliquant que le regroupement de ces étudiants et les échanges entre eux ne présentent aucun risque. Il faut distinguer entre la mise en quarantaine de ces personnes et leur état de santé actuel à l’hopital, a-t-il fait observer, notant qu’il ne faut pas aller jusqu’à limiter leurs déplacements.

Rissalat Al Oumma

• « Le pouvoir judiciaire au Maroc est un modèle à suivre dans le monde arabe », a souligné, lundi à Marrakech, le président du Tribunal Suprême et du Conseil Général du Pouvoir Judiciaire d’Espagne (CGPJ), Carlos Lesmes Serrano. S’exprimant à l’ouverture de la 7è Rencontre judiciaire maroco-espagnole entre la Cour de Cassation du Maroc et le Tribunal Suprême et le CGPJ en Espagne, Lesmes Serrano a salué le progrès remarquable réalisé par le Maroc en termes d’engagement en faveur de l’indépendance et de l’efficience de son système judiciaire et ce, depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle Constitution de 2011.

• Le Maroc et l’Afrique du Sud, deux principaux acteurs sur la scène africaine, sont appelés à travailler ensemble pour aider l’Afrique à relever les défis qui lui sont posés, a indiqué mercredi l’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, Youssef Amrani, dans une interview à la chaîne publique sud-africaine (SABC). Le Maroc et l’Afrique du Sud, en tant qu’acteurs majeurs dans le continent, sont appelés à travailler ensemble pour relever les défis posés au continent et bâtir une Afrique meilleure, a-t-il dit. «Nos deux pays ont convenu, au plus haut niveau, de rehausser, renforcer et développer leurs relations à travers un partenariat renouvelé», a souligné l’ambassadeur, relevant que Rabat et Pretoria partagent une vision et un engagement communs.

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