Dans le sillage de la mort du général iranien Qassem Soleimani, les cours du pétrole ont connu un net bon. Ainsi, le cours a connu une soudaine hausse de 4%.
Les prix du pétrole ont grimpé aussitôt que la mort du général Qassem Soleimani a été annoncée, faisant montrer le baril de « light sweet crude » (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en février, de 4,3% à 63,84 dollars, dans les échanges électroniques. Le Brent, référence européenne, pour mars, a gagné 4,4% à 69,16 dollars.
Ces hausses ont été enregistrées un peu partout dans le monde, notamment en Asie, et en Europe, précisément à Londres qui a enregistré une hausse de baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valant 68,63 dollars.
Avec cette montée soudaine de 4%, le WTI atteint un niveau plus vu depuis mai. Ces bond des prix du pétrole intervient en outre dans un contexte où les cours ont récemment été portés par « les baisses de production de l’Opep+ » décidée en décembre, par « des données macroéconomiques solides aux Etats-Unis » et par l’apaisement des tensions sino-américaines, susceptibles de « soutenir la demande de pétrole à moyen terme ».
